Au fin du film « les quatre cent coups » Antoine est puni pour avoir volé une machine à écrire. Il est envoyé á une école de reforme a la campagne. Les garçons la mènent une vie enrégimentée. Un jour, pendant un joue de foot, Antoine s’échappe et commence à courir. il court pour arriver en fin à la plage. Au bord de l’eau il se tourne vers la camera. Le film s’arrête sur l’image de son visage.
Truffaut a tourné tous les scènes de la vie quotidienne d‘Antoine dans des espaces exigus. Par exemple, Il dort, pas dans son propre chambre mais dans un couloir entre la cuisine at la chambre de ses parents. Ainsi pour donner la liberté a Antoine, Truffaut doit lui donner de l’espace[1]. Antoine s’échappe de la centre de détention est il commence à courir vers la mer.
Le film se termine avec une question. Au bord de la mer il n’y a pas d’autres endroits où il pourrait aller. Au lieu de cela Truffaut arrêt sur cette image du film. Dans un fin classique, Antoine se retourne vers la camera, comme il se pose la question, d’où va-t-il d’ici [2]?
La fin des 400 coups résume cette histoire d’un jeune garçon perdu, abandonné par ses parents et verrouillée dans une institution. Antoine fait ce qu’il fait toujours et il enfreint les règles en faisant un coup dur pour la liberté
Une imitation de la scène finale des Quatre cent coups a été crée par les écrivains du dessin animé « les Simpsons » dans un hommage a l’œuvre de François Truffaut :